
La situation de la classe ouvrière est très grave : le travail qui nous permet tout juste de survivre, le chômage, l’insécurité de l’emploi, le logement inaccessible, sont l’autre face des privilèges des riches, de plus en plus riches, qui ont résolu le problème de la crise capitaliste avec la surexploitation du prolétariat.
Depuis l’approbation de la loi bâillon [dite « de sécurité citoyenne », de mars 2015] et la réforme du Code pénal, les mesures de répression contre ceux qui luttent contre cette situation se sont multipliées : tous les jours, de graves accusations sont portées contre des travailleurs